Togo : ces acquis de la mise en œuvre du Code de l’enfant
La majorité des enfants togolais ont toujours cru qu’elle ne pouvait jouir que des droits à l’éducation (78% des garçons et 81% des filles), la santé et services de médicaux(48% des garçons et 45% des filles), la vie et développement (41% des garçons et 35% des filles). Il a fallu que le Code de l’enfant soit rentré dans sa phase d’exécution pour qu’ils apprennent qu’ils ont notamment le droit de vivre avec leurs parents, d’être protégés contre les mauvais traitements, à la protection contre l’exploitation et toute forme de violence etc.
La majorité des enfants togolais ont toujours cru qu’elle ne pouvait jouir que des droits à l’éducation (78 % des garçons et 81 % des filles), la santé et services de médicaux(48 % des garçons et 45 % des filles), la vie et développement (41 % des garçons et 35 % des filles). Il a fallu que le Code de l’enfant soit rentré dans sa phase d’exécution pour qu’ils apprennent qu’ils ont notamment le droit de vivre avec leurs parents, d’être protégés contre les mauvais traitements, à la protection contre l’exploitation et toute forme de violence, etc.
Outre les enfants, la mise en œuvre du Code de l’enfant a changé positivement les choses dans les communautés et a entraîné la mise en place des mécanismes communautaires de protection des droits de l’enfant. Et, dans certains cas, les communautés dénoncent des cas de violation des droits de l’enfant même si par compassion elles ne souhaitent pas que les auteurs d’abus soient punis. Toujours dans les communautés, souligne le rapport du bilan de l’application du code de l’enfant, l’exécution des rites et traditions préjudiciables à la santé des enfants ont été identifiées et revues.
L’intégration des droits de l’enfant dans la formation des professionnels de la justice pour mineur, précise le rapport, a été l’occasion de renforcer l’efficacité du système. L’enseignement des droits de l’enfant dans les écoles de formation des travailleurs sociaux et des magistrats a contribué à l’acquisition des connaissances et au développement de nouvelles compétences.
Ils sont des habiletés nécessaires à l’application de bonnes pratiques d’intervention auprès des enfants, adéquates et respectueuses des droits fondamentaux de l’enfant, qu’il soit victime ou témoin d’infraction, en conflit avec la loi, en danger ou en situation difficile.
Sur le plan légal, révèle le rapport, le Code de l’enfant comporte des dispositions qui sont pour la plupart harmonisées avec les grands principes en matière des droits de l’enfant offrant ainsi aux acteurs les moyens légaux de base à la création d’un environnement favorable à son application.