Le Togo veut réduire la mortalité infanto-juvénile d’ici 2025

Le Plan National de Développe,ent PND à travers l’un de ses projets phares dénommé Plan national de développement sanitaire (PNDS 2016-2022) veut améliorer l’accès aux soins et aux services de planification familiale; Le PNDS envisage aussi de renforcer les capacités des acteurs œuvrant pour le bien-être de l’enfant et de la mère.

Pendant trois (03) ans, 22 formations sanitaires des régions concernées seront équipées afin d’offrir de meilleurs soins obstétricaux et néonataux d’urgence aux populations ; des infrastructures sanitaires seront réhabilitées sans oublier la formation du personnel soignant à cet effet.

Le gouvernement togolais compte à travers ces réformes, réduire de 20 % la mortalité néonatale, de 25 % la mortalité maternelle et augmenter la prévalence contraceptive de 5 % dans les régions ciblées.

En effet, le Togo enregistre un taux de mortalité infanto-juvénile (123 %) dus aux maladies infectieuses et parasitaires, et entre 350/1000 naissances vivantes, à cause de la faible accessibilité géographique et financière des populations aux soins obstétriques et néonataux, particulièrement en milieu rural ou dans les zones enclavées.

Comme solutions à ces problèmes, outre six (6) centres de santé, la mère-enfant va être construite sur l’étendue du territoire, le nombre des accoucheuses auxiliaires d’Etat sera aussi doublé. Le gouvernement prévoit d’ici 2025, construire cent (100) centres médicaux sociaux et réhabiliter des centres de santé communautaires existants.

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